ICI et MAINTENANT
Depuis le bigbang et bien avant !
Il n’y a toujours eu qu’un seul et unique événement, qu’un seul et unique instant,
celui qui se produit
ici et maintenant
l’instant : Présent.
Rien d’autre n’existe, n’a excité ou n’excitera
que l’instant présent,
de tout temps et bien avant.
Tout d’abord une petite question :
Savez-vous pourquoi ? Nous aimons tant : Regarder des films ou des séries ? Lire des romans ? Aller voir des pièces de théâtre ? ou entendre des opéras ou des concerts ?
Quand nous regardons un film nous devenons spectateur, spectateur de ce qui arrive, et dés ce moment, nous ne sommes nulle part ailleurs que : dans l’instant ; tout le reste est oublié disparait, le mental abandonne les factures, les rendez-vous urgents, les devoirs à rendre ou nos responsabilités professionnelles ou solaires, pour ce seul « instant ».
Devant notre ordinateur, devant un écran de cinéma, ou à plasma extra plat, assis au 1er rang devant cette immense scène, ou plus tranquillement dans notre lit plongé dans ce roman passionnant - Ici et maintenant et nulle par ailleurs - quoiqu’il puisse arriver, qu’il soit arrivé ou qu’il arrive, nous l’acceptons.
Normal !
Cela ne nous touche pas, ne nous atteint pas directement !
Ici, à cet instant, pas de danger réel ni de peur imaginaire. Rien à perdre rien à gagner. Rien à modifier ni à contrôler. Rien à prévoir ni a redouter. Et même si nous vibrons avec l’histoire, les personnages ou les acteurs, nous savons que tout cela n’est qu’une fiction… qu’un roman… qu’un film ... et que ce moment … cet instant … ne peut être modifié … que nous ne pouvons le modifier…
Il est suffisant.
Aucun regret aucun espoir aucune envie :
Il est parfait.
Aucun manque ni souffrance :
Il est béatitude.
Mais différemment, dans notre vie dite de « tous les jours » nous restons souvent en tension, puisque perpétuellement dans l’attente et l’espoir d’un événement, d’un instant, d’un moment :
AUTRE.
Que cela soit : l’attente d’une situation future, ou, le regret d’un événement passé (qui n’est plus et plus jamais ne sera). Baignant au quotidien dans un perpétuel état de « souffrance » - puisque en état d’insatisfaction.
Rarement, nous vivons l’émerveillement et l’acceptation du moment présent. (Même en lisant ces quelques lignes votre mental ne peut s’empêcher d’élaborer des actions ou des stratégies futures, sur ce qui pourrait être ou aurait été, si… … … à moins qu’il ne soit sur des taches à accomplir ou à se souvenir, et peut être a-t-il programmé une quelconque « alarme » pour un rendez-vous ou autre date importante…).
Par contre, devant un écran de cinéma, de télévision ou d’ordinateur, nous redevenons simple spectateur, nulle stratégie à élaborer nul besoin à assouvir, nous acceptons les événements tels qu’ils sont et se présentent, nous laissant porter et emporter avec eux sans résistance aucune, comme une petite brindille sur les eaux d’une rivière.
Mais détrompez-vous !
Nous ne sommes pas passifs !
Juste : naturel.
« Naturel » c’est être dans la nature de ce qui est, de ce qui se passe autour de nous. Ne plus être dans le contrôle ou dans les stratégies, ne plus revendiquer en cet instant un état autre que le notre et ne pas vouloir changer ce qui nous entoure, ni les autres et encore moins nous même. C’est accepter les choses telles qu’elles sont, telles qu’elles étaient ou telles qu’elles seront… C’est dire OUI.
OUI à ce qui est. OUI au moment tel qu’il est. Ce moment présent est la seule chose que vous avez et n’aurez jamais, alors arrêtez de phantasmer ! Vous n’avez jamais eu et n’aurez jamais rien de plus. Ici.
Quels que soient les rêves et les attentes de votre mental, vous n’aurez jamais rien d’autre que ce miracle en perpétuel création, celui d’exister. Que peut-il y avoir de plus beau ou de plus parfait que l’instant présent ?
Rien !
Puisque rien d’autre ne vous est proposé à cet instant.
Puisque rien d’autre n’existe et ne peut exister !
Puisque ce que vous attendez n’existe pas encore, et n’existera peut être jamais.
Puisque ce que ce que vous regrettez n’existe plus, si ce n’est qu’à l’état de pensées… et uniquement dans votre mental.
Alors, Vivez cet instant comme si vous l’aviez choisi, attendu, chéri, et enfin : reçu comme un cadeau.
« Voulez » ce qu’il vous arrive maintenant, et rien d’autre. Puisque rien n’est autre.
C’est cette même présence que nous devons entretenir au quotidien, un état semblable à celui qui est le notre devant un film ou un DVD - l’état où le mental devient simple spectateur. Ni passé ni futur, un état hors du temps sur lequel le mental ne peut avoir de contrôle puisque le seul temps sur lequel le mental ne peut agir est le présent.
Le mental ne peut changer le présent, il n’a sur l’instant immédiat aucun contrôle. C’est pour cela qu’il vous invite à le rejoindre dans le passé ou le futur. Là, il est le Roi ou l’Empereur. Mais devient très vite un dictateur ! qui comme tout dictateur ne peut tenir ses fausses promesses. Le mental est le plus grand des Illusionnistes que la terre n’ait jamais porté, il espère vous faire croire qu’il a le pouvoir de faire apparaitre des évènements ; mais les événements apparaissent par eux-mêmes - tout simplement. Le mental est aussi le plus grand des Menteurs, il ne vent que du vent puisqu’il ne « contrôle » que le passé et le futur, des temps des instants qui n’existent pas.
Le futur n’a d’existence que dans nos pensées, construites exclusivement avec les souvenirs du passé. Et si nous poursuivons cette réflexion, nous prenons conscience que le futur n’existera jamais ! si ce n’est dans l’immédiat du moment - dans l’espace d’un instant alors Présent.
Quant au passé, lui, il n’existera plus jamais, si ce n’est dans notre mémoire, dans nos souvenirs, sur des photos, des vidéos, des documents. Pourtant lui aussi un jour a existé, mais lui aussi uniquement dans un instant - Présent !
Notre vie ne se conjugue qu’au présent, un temps où le passé et le futur n’ont jamais été qu’un seul et unique moment : le moment présent, depuis le Bigbang et de tous temps.
Retrouvez cet état de présence, cet état sans contrôle sur ce qui est et apparait. Cette sensation d’innocence et d’émerveillement que vous pouvez vivre en vacances ou en voyage devant des paysages ou des personnes inconnus, des situations nouvelles et jamais vécues, toutes ces « 1ere fois » de visions de parfums de sensations de touchers et de gouts nouveaux et non-connus. Là, est la seule réalité : dans l’étonnement et l’éblouissement.
Arrêtez de vous tourmenter, voulant que les choses soient autrement, et les autres différents. Revenez à la plénitude de la réalité dans l’immédiateté d’ici et de vous-même. La vague est une illusion qui inlassablement va et revient, entre sac et ressac, entre passé et futur, pour s’effacer sur le sable ou s’écraser sur les rochers dans l’écume des émotions.
La vague nait et disparait. Seul l’océan est à jamais présent à chaque instant infiniment.
Mais vous allez me dire que l’on vous a toujours voulu comme l’instant : différent et AUTRE. Plus gentil, plus serviable, plus obéissant, plus travailleur, plus ordonné, plus aimant, plus performant, plus mince, plus gros, plus grand, plus riche, plus honnête, plus tendre, plus amoureux, plus honnête, plus à l’écoute, plus loyal, plus présent, plus rapide, plus patient, plus… La société a toujours désiré vous changer, elle vous a voulu toujours mieux que ce que la nature vous a créé ! Pourtant, tout est parfait depuis des milliers d’années et ce, malgré la morale la société la religion qui ont inventé le mot : Perfection.
Alors, pourquoi vouloir toujours plus ? ou autre (chose) que l’instant présent ? Puisqu’il n’y a rien d’autre à vivre. Pourquoi ne pas vivre le « miracle » de ce moment ?
La vie n’est qu’une succession d’instants présents en perpétuels mouvements, mais elle ne nous permet de vivre qu’un seul et unique instant.
« Pouvez-vous vivre un instant autre que celui-ci ? » un instant passé ou futur à ce moment.
Non !
Vous ne vivez toujours qu’un instant présent - ce qui est à ce moment n’est plus le moment suivant - et n’était pas le moment avant - tout le reste n’est que concepts et illusions du mental. Faites comme Robert Kincaid (Clint Eastwood) dans le film -Sur la route de Madison- qui, porté par ses voyages et sa profession, parcourait le monde au gré de ses photographies ; et qui, traversant l’Italie en train pour un reportage ; descend un matin à Bari.
Simplement :
« Parce que c'était ravissant ».
Vous aussi :
Descendez du train,
A chaque instant.
C’est ravissant.
Si vous connaissez ce film, vous vous souviendrez que quelques années plus tard le même Robert Kincaid à la recherche du pont de Rosemond rencontre Francesca Johnson (Meryl Streep) seule devant sa ferme dans Iowa - au milieu de nulle part !
Franesca, bonne épouse et mère de famille dévouée, observe la vie de sa cuisine, puis rêvera à la dérobée à travers les planches du pont de Roseman. Bien que fasciné et follement amoureuse, elle n’osera pas quitter les siens pour Robert.
Robert lui, pour la seule fois de sa vie, vivra avec cette rencontre une sublime certitude, une magnifique évidence, de celles qui ne se produisent qu’une seule fois dans notre inexistence (lui avouera-t-il).
Pourtant, quelques jours plus tard, c’est seul, qu’il quittera cette ville ou l’éphémère avait pris un parfum d’éternité, et c’est à un carrefour (celui de sa vie)
et devant un feu impermanent et tricolore (celui de son Libre-Arbitre) qu’il abandonnera ses espoirs, définitivement.
Apercevant une dernière fois Francesca sous une pluie battante, il aura une autre certitude plus douloureuse :
Celle de savoir que la main de Francesca ne caressera plus jamais d’un geste faussement machinal le col de sa chemise, ni ne frôlera par inadvertance sa cuisse en allant saisir son paquet de Camel dans la boite à gant de son GMC…
Et cela, même si « les vieux rêves sont de beaux rêves, même s’ils ne se sont pas réalisés », plus jamais il redescendra du train du mental et du passé, poursuivant le voyage de sa vie dans la nostalgique fidélité à ces quelques jours de cette année 1965 prés du pont de Roseman.
Photographe, photographie, instantané,
instant de grâce, état de grâce
dérobé ou partagé.
L’Instant peut aussi se partager et se vivre à deux. Alors de simple instant il devient - L’Instant de Grâce - ou miracle de l’Amour et de la Vie – à 2 – et dans un état que l’on nomme « Etre Amoureux ».
Tomber amoureux(se) pour 2 personnes c’est avant tout : «Partager l’instant» ensemble et se partager, fusionner avec l’autre.
Et «Partager l’instant » avec l’instant - partager l’instant avec la Création, avec le Divin - c’est ce que l’on nomme sur notre terre « Etre Illuminé ou Eveillé ».
Impossible me direz-vous !
Pourtant « ON » nous en donne le gout, la saveur, l’émotion, la sensation, le plaisir - ou du moins on nous le rappelle. Vivre ce que ressent le Divin au quotidien, depuis toujours et bien avant toujours : « l’Etat d’Amour » comme de tous temps. Le gout de cet état nous est offert - c’est le cadeau de cette Vie. Un cadeau qui pourra apparaitre aussi comme une douce injustice, puisque si certain(e)s le cherchent sans le trouver, d’autres le rencontrent sans le chercher. Car rien ne sert de le chercher, on a juste le droit de le désirer et de l’accueillir, tout comme on peut accueillir l’Instant ! Mais tout comme l’Instant (l’Amour) c’est LUI qui vous choisit, qui vous surprend - nous disons bien « tomber amoureux » - cela a été si fort si subit si inattendu !… Le mental n’a lui-même rien vu venir ! (et rien compris non plus !)
On nous donne dans ces instants à gouter au Nectar, c’est l’ultime cadeau sur terre. Souvenez-vous (pour ceux et celles qui sont tombé(e)s amoureux(ses) dans quel état de conscience (ou d’inconscience) vous étiez, ou, êtes vous encore ! un temps hors du temps ordinaire.
En ces instants, comment ? Vous parait - vous paraissait ou vous apparaissait le monde ? et ceux ou celles qui vous entourent ? quel gout, quel parfum, quelle lumière, quelle douceur, quelle chaleur, quel son avait cet instant ? Et de quel mot le qualifier : « Divin, Sublime, Merveilleux, Ravissant, Unique, Exceptionnel ? »
Étiez-vous dans un état de béatitude ? De Grâce? Ou au 7eme ciel ? Transporté par vos émotions vos sentiments et ceux de l’autre ?
Mais si cette personne n’avait pas fait chavirer votre cœur vous ne seriez pas transporté comme vous l’êtes ! Donc, c’est bien votre propre état, vous et le monde. Vous et « l’autre », vous et l’extérieur, Vous et est ce qui n’est pas Vous.
Vous êtes (ou étiez) amoureux de ce qui n’est pas vous, vous ne rejetez plus ce qui n’est pas vous, acceptez ce qui n’est pas vous, et tout ce qu’il y a et ce qui est autour de vous. Vous ne désirez pas ou plus que ce soit autrement. Mais au contraire : Que tout cela dure, que tout ce qui est dure éternellement.
« L’amour » n’est juste qu’un rappel, un clin d’œil du Divin, pour vous souvenir du bonheur qu’il nous est donné de pouvoir vivre l’instant - de tout notre être à tout instant.
En ce moment où 2 ne font plus qu’1 au-delà de toutes dualités, vous retrouvez l’innocence de l’enfant qui découvre et s’émerveille, tout simplement.
Comme devant un film, les choses semblent vous échapper, mais vous ne tentez plus de les Controller, vous êtes dans un état de bien être, de complétude, de bonheur à nul autre pareil.
C’est ainsi que vous devez être, remplie d’amour pour ce qui n’est pas vous, tout autant que pour ce qui est vous. Présent, embrassant, embrassant et étreignant, l’instant infiniment.
Mais maintenant ! Pas demain, ni la semaine prochaine. Car ce n’est pas un concept de plus à intégrer à comprendre ou à étudier - ni un enseignement qui vous prendra des heures, des jours, des mois, des années - tout un temps à perdre ou à remplir des pages, à lire des centaines de livres, à faire des milliers de Prières, à passer des semaines à méditer et des week-ends à jeuner. Vous comprendrez tout cela lorsque vous abandonnerez le désir de chercher et l’action de vouloir. Accepter simplement l’instant tel qu’il est et n’attendez pas ou ne regrettez pas ce qu’il « pourrait » ou « pouvait » être.
Quand Robert Kincaid descend du train à Bari c’est pour l’instant tel qu’il est.
Quand il accepte un repas préparé par Francesca (en la complimentant sur sa cuisine « faite maison ») c’est pour l’instant tel qu’il est.
« Ils ne font rien de mal »
(lui dit-il)
si ce n’est : savourer à deux un repas et l’instant tel qu’il est.
Vous ne faites rien de mal ! Vous non plus !
Et contrairement à notre éducation il n’y pas à être autrement, ni à l’instant à être différent.
Savourez l’instant tel qu’il est. Vous ne faites rien de mal…
Quand vous êtes Amoureux, c’est pour l’instant tel qu’il est. Quand certains sont « Illuminés » c’est pour l’instant tel qu’il est.
C’est quand nous voulons changer l’instant tel qu’il est que nous ne sommes plus dans l’instant tel qu’il est.
« L’instant tel qu’il est » c’est le seul moment où l’on vit éternellement entre passé et futur (ces deux mirages trompeurs et voleurs de nos instants . . .)
Ecoutez cette petite histoire :
Un roi envoie un émissaire chez un grand sage indou afin de l’inviter dans son palais.
Quand l’émissaire présente l’invitation au sage, celui-ci lui répond :
« Je ne peux pas y aller parce que je n’existe pas. Personne n’ira donc au palais. »
Apprenant cette réponse, le roi s’exclame : « Comment peut-il me répondre cela ? Ordonnez-lui de venir sur le champ, et s’il ne veut pas emmenez-le de force ! »
Quand le sage se retrouve devant le roi, celui-ci lui demande :
« Comment peux-tu dire que tu n’existes pas ? Et que tu n’es pas là. Il me parait évident que tu es la ! »
« Non je ne suis pas car je n’existe pas » répond le sage.
Le roi s’efforce de lui démontrer qu’il est bien là, en chair et en os devant lui. Et le touchant le roi s’exclame fièrement :
« Ah oui ! Et cela, qu’est ce que c’est ? »
Le sage lui montre alors le chariot dans lequel il est venu au palais, et dit :
« Vois-tu, je suis venu dans ce chariot. Si je détèle le cheval, celui-ci est-il un chariot ?
-Non répond le roi ! Un cheval n’est pas le chariot.
Maintenant j’enlève les roues, poursuit le sage, sont elles le chariot ?
-Non, les roues ne sont pas le chariot.
Bien, j’enlève les essieux. Sont-ils le chariot ? »
Le sage démonte le chariot pièce par pièce devant le roi qui reconnait le chariot dans aucune d’elles. A la fin il ne reste rien. Le chariot n’est nulle part. Il n’y que des pièces.
Seule existe, la sensation d’exciter. Qui ne peut exister que dans l’espace de cet instant présent. Tout le reste n’est que bouleversement et changement incessant, de tous temps.
Vous n’êtes pas qu’un corps, qu’un homme ou qu’une femme, qu’un jeune ou qu’un vieux, qu’un blanc ou qu’un noir, qu’un riche ou qu’un pauvre, qu’en bonne ou en mauvaise santé, vous avez été un enfant, aujourd’hui vous êtes un ou une adulte et dans quelques années un senior. Vous avez été un enfant une enfant, un amant une amante, un père une mère. Un jour peut-être vous serez une grand-mère ou un grand père. Vous avez été heureux et malheureux, vous avez désiré et avez été désiré, vous adoriez la plage aujourd’hui c’est la montagne, vous étiez une fêtarde un baroudeur, maintenant vous méditez devant bouddha ou écoutez Eckhart Tolle en boucle sur votre MP3.
Tout est changeant et tout est impermanent - ce qui vous entoure mais aussi votre corps physique. Pourtant une seule chose n’a jamais changé et ne changera jamais tant que vous serez vivant, c’est votre état : celui d’EXISTANT. J’existe ! enfant, adulte, mariée ou divorcé, en cabriolet ou a vélo, célibataire ou avec 6 enfants …
Alors, soyez
Soyez « présent,
embrassant,
embrassant et étreignant, l’instant infiniment
Savourez l’instant tel qu’il est.
Vous ne faites rien de mal…»
Et souvenez-vous :
A chaque instant.
C’est … Ravissant.
La Conscience, le Mystère, le Suprême, la Source, Dieu, la Vie existe en MOI. Dans ce corps à cet instant. Je ne suis pas hier, et encore moins demain.
Regardez ces vielles photos (qui souvent nous font sourires) êtes vous aujourd’hui celui ou celle que vous étiez il y a 10 ou 15 ans ? et dans 10 ou 15 ans serez-vous celui ou celle que vous êtes aujourd’hui ?
Non !
Toujours NON.
Vous êtes et ne serez jamais que celui ou celle qui existe à cet instant.
Vous n’êtes pas ce corps cette enveloppe mais l’état d’exister.
Et le seul lieu le seul temps où j’existe est ICI ET MAINTENANT dans l’INSTANT PRESENT, et PRESENT dans l’INSTANT depuis le bigbang comme
de tous temps…
T B T TALK ABOUT 2010 -DR
je vous laisse découvrir LA VERSION COMPLÈTE dans le PDF téléchargeable sur la page d’accueil.