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" Nous sommes dans l'inconcevable, mais avec des repères éblouissants "

           nous dit René CHAR 

La révolution industrielle puis l’industrialisation à coupé l’homme de ce qui est au dessus de lui, et notre société de (sur)consommation lui a ouvert à ce qui est au dessous.

L'écologie horizontale arrive à son terme (dans ce qui a pu ou non être appliqué) mais elle nous a offert d’atteindre aujourd’hui :

UN POINT DE POSSIBLES que nous ne pouvons plus ignorer ou pire refuser. Alors, à nous seuls de détricoter l’indéchirable de retisser l’inusable :  LA VIE

 

Michel Maxime Egger  dans son très beau livre, « La Terre comme soi-même » nous rappelle la citation percutante du philosophe catholique Jean Guitton énonçant il y a vingt ans

 « l’humanité approche d’un point vertigineux où elle aura à faire un choix radical entre la ‘métastrophe’ et la ‘catastrophe’, la mutation des consciences et le suicide cosmiqu». 

Aujourd’hui, nous n’approchons plus - de ce point :

Nous y sommes… 

 

Michel Maxime Egger Monseigneur MARTIN Fabrice Hadjadj Bertrand Vergely tout comme d’autres lanceurs d’alertes  - nous appellent et nous rappellent  par leurs paroles de raison à ce qu’ils nomment  une éco-spiritualité – une « écologie de l'ouvert » qui rejoint l’éco-spiritualité-intérieure – celle que le Dr Edward Bach (dans les années 1930) –  partagea par son approche de la création de l’homme et du soin, mais avant tout :  vécu / dans sa vie personnelle et professionnelle autant que dans le choix de ses recherches et l'application de ses découvertes. M M Egger pourrait le citer et le prendre en exemple comme Méditant-militant.

 

Entre écologie spiritualité et pouvoir d'achat - dans  notre immédiate et médiatique actualité (et à quelques semaines de la célébration de Noel) – j’ai trouvé l’instant propice pour nous rapprocher des découvertes et de la philosophie du Dr Edward Bach que nous pouvons qualifier d’ éco-spiritualié-intérieure - et pour cela il m’est apparu intéressant de revenir sur la  symbolique chrétienne dans la thérapie florale du Dr Bach (approche rarement développée me semble-t-il) – je vous laisse découvrir LA VERSION COMPLÈTE dans le PDF téléchargeable :

"Les Élixirs floraux pour une éco-spiritualité-intérieure vers une « écologie de l'ouvert "

 

 

« La lucidité c’est la blessure la plus rapprochée du soleil. » René CHAR

- aujourd’hui nous est donné le choix entre l’effondrement et le transcendant.

- l’EFFONDREMENT c’est le « collapse » : les prospectives de Pablo Servigne et son précurseur Jared Diamond aux Etats-Unis - les prévisions de l’écoconseiller belge Raphaël Stevens et Paul Virilio qui appelait ce scénario l’« accident intégral ».

- le TRANSCENDANT (ce qui dépasse les prévisions les connaissances et suppose avant tout un principe supérieur) n'appartient à aucun scénarios ni prospectives ou ni théories - lui seul nous appartient : le transcendant c’est NOUS : ce plus que nous-mêmes ce nouveau mode d’être (et de vivre)  - d’une Mutation intérieure - d’un autre Possible - en faire UN Nôtre POSSIBLE.

Gardons à l'esprit que nous faisons parti de la SOLUTION - quant à  l'AVENIR à nous d'y participer activement … la Vie croit en nous depuis des milliers d’années, rejoignons la ! 

Dominique Rubilotta pour l’association DESCLESPOURAGIR

INFOLETTER DECEMBRE 2018

 

 

L'épreuve ou Le tout petit livre de la divine douceur

lecture sur RCF :

https://rcf.fr/actualite/lepreuve-ou-le-tout-petit-livre-de-la-divine-douceur

 

La maladie (du corps) un temps imposé (mais jamais choisi) pour soigner notre corps et laisser les autres en prendre soin

- de longs moments (quelquefois incommodes ou douloureux) et d’autant plus si nous sommes  hospitalisés 

- alors, interminables instants pour re-devenir le compagnon de chambre de Nous-mêmes

- peut-être ? un temps pour se guérir de l'auto-envoûtement  "d'être soi-même"

- celui que nous croyions (ou que les autres croyaient) NOTRE

- un temps pour se réconcilier avec qui-nous-sommes (ou ne sommes pas)

loin de ce quotidien et de toutes ses urgences, où nos actions et notre présence étaient indispensables.

Sans chercher et encore moins justifier ou privilégier ces temps difficiles

(pour nous - comme pour nos proches)

nous pouvons porter  avec Francine Carrillo et Maurice Bellet un autre regard sur cet espace, entre maladie et guérison 

où notre faiblesse a pu nous dévoiler d’autres forces

- cachées dans la DIVINE DOUCEUR comme la nomme Maurice Bellet

- des forces qui dans notre faiblesse ont eut le courage de nous apparaître.

Deux ouvrages sur ces TEMPS hors du temps et deux découvertes en AUDIO avec

Francine Carrillo et Maurice Bellet

 

guérir… 

mais de quoi ?

 

Guérir, mais de quoi ? - radio réveilradio réveil

radioreveil.ch/episode/guerir-carrillo/

 

De toutes ces pensées qui entament l’estime de soi, qui polluent notre regard comme notre corps et nous empêchent de célébrer la vie comme un don.

Si la santé a la couleur des pensées qui nous habitent, l’urgence est de veiller à être là où nos pensées nous parlent de vivre de ce qui est vivant en laissant mourir ce qui est mort.
Un petit ouvrage qui aide à porter un regard positif sur soi

La théologienne genevoise Francine Carrillo propose une réflexion sur la guérison. A lire et à écouter, que l'on soit souffrant ou bien-portant. Pour Francine Carrillo, auteur d'un petit livre, Guérir… mais de quoi ?, la guérison ne signifie pas forcément retrouver la santé. 

 

 

L'épreuve ou Le tout petit livre de la divine douceur

lecture sur RCF :

https://rcf.fr/actualite/lepreuve-ou-le-tout-petit-livre-de-la-divine-douceur

L'épreuve ou Le tout petit livre de la divine douceur : Le livre de Maurice Bellet paru en 1988 garde toute sa pertinence et sa profondeur sur l'expérience de de la maladie et de l'hospitalisation. Caroline Werbrouck nous en parle pour mettre en avant ces paroles poétiques qui touchent notre sensibilité.

 

Dominique Rubilotta pour l’association DESCLESPOURAGIR

INFOLETTER FEVRIER 2018

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